Le Pommier du Paradis...
La tradition du Sapin de Noël que nous décorons chaque année dans nos salons est née en Alsace, au Moyen-Age, bien que son origine remonte néanmoins aux Fêtes du Solstice d'Hiver, chez les Celtes.
Un peu d'Histoire...
Chez les Celtes, justement, chaque mois lunaire était représenté par un arbre. En décembre, l'heureux élu était l'épicéa. On décorait les maisons de branches de différentes essences selon les régions : gui, houx et aubépine dans nos contrées de la Gaule et d'Outre-Manche, épicéa, pin et buis dans les pays scandinaves et germaniques, et laurier en Ligurie.
On célébrait Yule, le jour du Solstice d'Hiver, (21 décembre), nuit la plus longue et jour le plus court, qui marquait la renaissance du Soleil, date où la déesse-mère enfantait un fils. Les peuples nordiques quant à eux, célébraient Njörd, dieu Vane de la mer, et Idun, gardienne Asyne des pommes des dieux d'Asgard.
(Les dieux de la mythologie nordique se divisent en deux panthéons, celui des Ases et celui des Vanes - Source : "l'Edda" de l'Islandais Snorri Sturluson)
La Chrétienté souhaita éradiquer le Culte de Mitrha célébré le 25 décembre et pratiqué dans le Haut-Empire Romain, pour le remplacer par la célébration de la Naissance de Jésus.
L'on savait que Marie avait donné naissance à Jésus le 25 d'un mois d'Automne, (le Nouveau Testament place l'Evénement au Printemps) car d'après Saint Luc, bergers et animaux n'étaient plus présents dans les champs en décembre car c'était la saison des pluies. D'autre part, chez les Romains, à partir du 17 décembre, on entrait dans une période d'échanges de cadeaux lors des Saturnales. Donc, en 320 de notre Ere, le 25 décembre s'imposait pour les Pères Catholiques de Rome, (date refusée par le Culte Orthodoxe) afin d'éradiquer les fêtes païennes de Yule, les traditions Mithraïque et Saturnaliennes pendant lesquelles on avait l'habitude de festoyer, et de les remplacer par la Naissance du Christ, où le monde chrétien se réjouit de la venue du Sauveur.
La Bûche de Noël (autrefois bûche de chêne ou d'arbre fruitier consacrée, elle devait brûler 12 heures d'affilée pour porter chance) découle de la tradition des branches de sapin où l'on plaçait des bougies allumées. Les Protestants attribuent cette coutume à Martin Luther, alors que pour les Catholiques, il s'agit de Saint Boniface. Mais l'on faisait déjà de même lors de Yule et pendant les Saturnales... Elle devint gâteau roulé au chocolat en 1834, grâce à la créativité d'un jeune pâtissier de Saint-Germain, à Paris...
Mais revenons à notre Sapin....
A l'origine, le sapin figurait le Pommier du Paradis... Le Sapin de Noël s'est popularisé sur les rives du Rhin dès le XVIe siècle. La coutume gagna la France au coeur du XIXe siècle, par la grâce d'un mariage, celui du prince royal Ferdinand, duc d'Orléans et fils de Louis-Philippe, roi des Français, avec une princesse allemande, Hélène de Mecklembourg-Schwérin...
Au milieu du XIXe siècle, l'Arbre de Noël au pied duquel les enfants découvrent leurs cadeaux au matin du 25 décembre n'était encore qu'un usage localisé dans l'Est de l'Europe. C'est pourtant bien en France qu'il semble avoir vu le jour. Un voyageur anonyme dans l'Alsace de 1605 écrivit avoir été frappé par "la coutume particulièrement alsacienne de dresser dans les maisons des sapins ornés de pommes rouges, d'hosties coloriées, de bredele, d'oublies et de sucreries".
Le sapin décoré tel que nous connaissons aujourd'hui apparut à Kaysersberg dès 1521. On en parle à Ammerschwihr en 1561, on en a vu à Turckheim en 1597 puis à Sélestat en 1600. Enfin à Strasbourg en 1605, date où notre voyageur apparut... Mais dans cette ville, le 24 décembre on célébrait "le Jour d'Adam et Eve" depuis le Moyen-Âge. Tout naturellement on utilisait un sapin, seul arbre vert en hiver pour symboliser "le Pommier du Paradis". En ancien alémanique, on le nommait "Meyen".
Selon un livre de compte de la Bibliothèque de Sélestat, daté du 21 décembre 1521, on payait 2 shillings les gardes chargés de surveiller les forêts communales pour éviter les débordements de coupes de sapins. Des mentions encore plus anciennes existent à Ammerschwihr en 1448, à Andolsheim en 1431 et même à Fribourg en Brisgau en 1419.
"Yule - Solstice d'Hiver" Illustration (c) Briar |
Un peu d'Histoire...
Chez les Celtes, justement, chaque mois lunaire était représenté par un arbre. En décembre, l'heureux élu était l'épicéa. On décorait les maisons de branches de différentes essences selon les régions : gui, houx et aubépine dans nos contrées de la Gaule et d'Outre-Manche, épicéa, pin et buis dans les pays scandinaves et germaniques, et laurier en Ligurie.
Carl Larsson "Brita en Idun" Image Scannée "Le Grand Livre de Carl Larsson" Editions Hercher - 1982 |
On célébrait Yule, le jour du Solstice d'Hiver, (21 décembre), nuit la plus longue et jour le plus court, qui marquait la renaissance du Soleil, date où la déesse-mère enfantait un fils. Les peuples nordiques quant à eux, célébraient Njörd, dieu Vane de la mer, et Idun, gardienne Asyne des pommes des dieux d'Asgard.
(Les dieux de la mythologie nordique se divisent en deux panthéons, celui des Ases et celui des Vanes - Source : "l'Edda" de l'Islandais Snorri Sturluson)
Idun, (ou Idunn) Gardienne des Pommes de Jouvence des dieux Ases Via |
La Chrétienté souhaita éradiquer le Culte de Mitrha célébré le 25 décembre et pratiqué dans le Haut-Empire Romain, pour le remplacer par la célébration de la Naissance de Jésus.
Federico Barocci "Nativité" 1597 |
L'on savait que Marie avait donné naissance à Jésus le 25 d'un mois d'Automne, (le Nouveau Testament place l'Evénement au Printemps) car d'après Saint Luc, bergers et animaux n'étaient plus présents dans les champs en décembre car c'était la saison des pluies. D'autre part, chez les Romains, à partir du 17 décembre, on entrait dans une période d'échanges de cadeaux lors des Saturnales. Donc, en 320 de notre Ere, le 25 décembre s'imposait pour les Pères Catholiques de Rome, (date refusée par le Culte Orthodoxe) afin d'éradiquer les fêtes païennes de Yule, les traditions Mithraïque et Saturnaliennes pendant lesquelles on avait l'habitude de festoyer, et de les remplacer par la Naissance du Christ, où le monde chrétien se réjouit de la venue du Sauveur.
Bûche de Noël 110 ans d'Angelina Via |
La Bûche de Noël (autrefois bûche de chêne ou d'arbre fruitier consacrée, elle devait brûler 12 heures d'affilée pour porter chance) découle de la tradition des branches de sapin où l'on plaçait des bougies allumées. Les Protestants attribuent cette coutume à Martin Luther, alors que pour les Catholiques, il s'agit de Saint Boniface. Mais l'on faisait déjà de même lors de Yule et pendant les Saturnales... Elle devint gâteau roulé au chocolat en 1834, grâce à la créativité d'un jeune pâtissier de Saint-Germain, à Paris...
(c) Gordon Lers "Christmas Choir" |
Mais revenons à notre Sapin....
A l'origine, le sapin figurait le Pommier du Paradis... Le Sapin de Noël s'est popularisé sur les rives du Rhin dès le XVIe siècle. La coutume gagna la France au coeur du XIXe siècle, par la grâce d'un mariage, celui du prince royal Ferdinand, duc d'Orléans et fils de Louis-Philippe, roi des Français, avec une princesse allemande, Hélène de Mecklembourg-Schwérin...
Albert Chevallier Tayler "L'Arbre de Noël" Académisme |
Au milieu du XIXe siècle, l'Arbre de Noël au pied duquel les enfants découvrent leurs cadeaux au matin du 25 décembre n'était encore qu'un usage localisé dans l'Est de l'Europe. C'est pourtant bien en France qu'il semble avoir vu le jour. Un voyageur anonyme dans l'Alsace de 1605 écrivit avoir été frappé par "la coutume particulièrement alsacienne de dresser dans les maisons des sapins ornés de pommes rouges, d'hosties coloriées, de bredele, d'oublies et de sucreries".
Alexei Mikhailovitch Korin (1865-1923) "L'Arbre de Noël" Impressionnisme |
Le sapin décoré tel que nous connaissons aujourd'hui apparut à Kaysersberg dès 1521. On en parle à Ammerschwihr en 1561, on en a vu à Turckheim en 1597 puis à Sélestat en 1600. Enfin à Strasbourg en 1605, date où notre voyageur apparut... Mais dans cette ville, le 24 décembre on célébrait "le Jour d'Adam et Eve" depuis le Moyen-Âge. Tout naturellement on utilisait un sapin, seul arbre vert en hiver pour symboliser "le Pommier du Paradis". En ancien alémanique, on le nommait "Meyen".
"Ô Christmas Tree" (c) Robert Duncan Via |
Selon un livre de compte de la Bibliothèque de Sélestat, daté du 21 décembre 1521, on payait 2 shillings les gardes chargés de surveiller les forêts communales pour éviter les débordements de coupes de sapins. Des mentions encore plus anciennes existent à Ammerschwihr en 1448, à Andolsheim en 1431 et même à Fribourg en Brisgau en 1419.
Colportée par les marchands ambulants qui sillonnaient alors les campagnes, la tradition se répandit dans le Nord-Est de l'Europe.
Une première fois, ainsi que l'atteste une lettre datée de 1711, Charlotte Elisabeth de Bavière, Princesse Palatine et duchesse d'Orléans, belle-soeur de Louis XIV, tenta de lancer la coutume à la Cour de France. C'était compter sans l'influence de l'austère Madame de Maintenon, ennemie jurée de la Princesse Palatine. La célébration, jugée païenne, ne fit pas long feu.
Sergei Pavlovitch Victors (1916-1977) Décoration de l'Arbre de Noël - 1963 |
La reine Marie Leszczynska importa également la coutume de sa Pologne natale, mais à la Cour de Louis XV, la reine comptait pour rien ou presque rien… L’omnipotente Madame de Pompadour était la seule initiatrice des modes. Il fallut attendre un siècle avant qu’une nouvelle duchesse d’Orléans d’origine allemande fit resplendir au Palais des Tuileries l’arbre scintillant qu’avait boudé Versailles.
Le Sapin de Noël de la Duchesse d’Orléans...
En épousant l’héritier de la Couronne de France, fils de Louis-Philippe 1er, la princesse Hélène de Meclembourg-Schwérin, (1814-1858) cousine du roi de Prusse et du tsar de Russie, n’imposa qu’une seule condition : rester fidèle à la Foi Luthérienne. De son Mecklembourg natal elle conserva toutefois quelques usages dont le plus charmant, qui surprit puis séduisit sa royale belle-famille, apparût quelques mois après son mariage.
Franz Xaver Winterhalter Hélène Louise Elisabeth de Mecklembourg-Schwerin Duchesse d'Orléans et son fils Philippe Albert d'Orléans, Comte de Paris 1839 |
A Noël 1837, dans les salons du Pavillon de Marsan, l’aile du Louvre qu’elle occupait avec son mari Ferdinand, la duchesse fit dresser un sapin qu’elle décora de pommes (celles-ci devinrent nos boules de verre) de bougies (dont l'ajout datait de 1785) et de menus présents destinés à son entourage. La princesse Hélène pratiquait cette coutume en mémoire de sa mère, la princesse Caroline de Saxe-Weimar-Eisenach de qui elle tenait cette charmante tradition familiale : l’Arbre de Noël, coutume qu’elle transmit à ses fils, le Comte de Paris et le Duc de Chartres, puis à toute la France.
Curieusement, c’est également en partie grâce à Goethe que les Français doivent le Sapin de Noël…
Promis par ses parents à une carrière de magistrat, le plus illustre des écrivains Allemands étudia le droit à Strasbourg. Ce fut en cette ville d’Alsace, qu’en 1770, Johan Wolfgang Von Goethe découvrit son premier sapin décoré. Séduit par la coutume, il l’introduisit à la Cour de Weimar, en Thuringe, où, protégé du Grand-Duc Carl August 1er, il devint Premier Ministre. La fille du souverain, Caroline, épousa en 1810 le Grand Duc héréditaire Frederick de Mecklembourg Scwhérin, et perpétua la tradition pour sa fille Hélène, future duchesse d’Orléans, belle–fille de Louis-Philippe.
La grande sécheresse de 1857, priva les Alsaciens et les Lorrains de leurs pommes, qu'à cela ne tienne : un souffleur de verre Mosellan de Groetzenbruck souffla des boules d'argent. Les premières boules de verre afin de remplacer les pommes rouges étaient créees... Elles furent à l'origine des célèbres fabriques de boules de verre de Meisenthal.
Au Royaume-Uni, ce fut le Prince Albert de Saxe-Cobourg et Gotha, mari de la reine Victoria, lui-même natif de Thuringe, qui en 1841, amena la tradition à Londres. Un sapin venu des forêts de Thuringe était décoré chaque année au château de Windsor, la coutume gagna d'abord la bourgeoisie, puis l'Angleterre.
Pour terminer ce sujet sur le Sapin de Noël, quoi de plus merveilleux que d'écouter l'un des plus beaux chants de Noël :
Ô Tannenbaum... Mon Beau Sapin...
Henry Mosler "Matin de Noël" Ecole de Pont-Aven |
La grande sécheresse de 1857, priva les Alsaciens et les Lorrains de leurs pommes, qu'à cela ne tienne : un souffleur de verre Mosellan de Groetzenbruck souffla des boules d'argent. Les premières boules de verre afin de remplacer les pommes rouges étaient créees... Elles furent à l'origine des célèbres fabriques de boules de verre de Meisenthal.
Au Royaume-Uni, ce fut le Prince Albert de Saxe-Cobourg et Gotha, mari de la reine Victoria, lui-même natif de Thuringe, qui en 1841, amena la tradition à Londres. Un sapin venu des forêts de Thuringe était décoré chaque année au château de Windsor, la coutume gagna d'abord la bourgeoisie, puis l'Angleterre.
Noël Art-Déco Image Pinterest |
Pour terminer ce sujet sur le Sapin de Noël, quoi de plus merveilleux que d'écouter l'un des plus beaux chants de Noël :
Ô Tannenbaum... Mon Beau Sapin...
Mon beau sapin, roi des forêts
Que j'aime ta verdure
Quand par l'hiver, bois et guérets
Sont dépouillés de leurs attraits
Mon beau sapin, roi des forêts
Tu gardes ta parure
Toi que Noël planta chez nous
Au saint Anniversaire
Joli sapin, comme ils sont doux,
Et tes bonbons, et tes joujoux
Toi que Noël planta chez nous
Tu répands la lumière.
Mon beau sapin, tes verts sommets
Et leur fidèle ombrage
De la foi qui ne ment jamais
De la constance et de la paix.
Mon beau sapin, tes verts sommets
M'offrent la douce image.
Mon beau sapin, roi des forêts
Que j'aime ta parure
Et quand la neige blanchit tes traits
Que ta verdure disparaît
Mon beau sapin, roi des forêts
Tu brilles dans l'Azur.
Voilà qui va me motiver à me piquer les doigts pour installer mon beau sapin dans la maison ce soir... Mari Nathanaëlle pour cette belle enquête !
RépondreSupprimerbon dimanche
Cela me fait penser qu'il faut que je termine le mien, je l'ai commencé, ai été interrompue, et je n'ai pas eu le temps d'y revenir, (je vais me faire tirer les oreilles par Marie-Josée (depuis le Québec, les oreilles vont s'allonger lol) car je lui avais promis une photo lol)
SupprimerBisous Josette et douce semaine
un beau billet qui nous invite à la magie de Noël..je suis très en retard..un gros nuage noir est venu me faucher le moral mais les enfants...ont droit à leur fête et puis la vie continue..donc, tu m'invites à descendre à la cave....afin de remonter les cartons à trésors.promis, je m'u mets ! Belle semaine à venir.Bises!
RépondreSupprimerJ'espère que ce nuage noir n'apporte pas de chagrin à ton Noël.
SupprimerBon courage et plein de douces choses, Danielle, Bisous
Quelle belle histoire, si joliment illustrée, de notre arbre de Noël !
RépondreSupprimerC'est vrai que ça motive à le mettre en place.
Je vais le regarder différemment, maintenant, grâce à toi !
Très bonne soirée, Nathanaëlle et bisous des humains et des chats de la maisonnée.
Et puis c'est joli de continuer une tradition que les siècles ont façonnée avec tant de poésie et surtout d'Esprit de Noël...
SupprimerBisous Norma, aux humains et aux félins de ta maison.
Passionnant ton billet Nath. Il y a des choses que je savais mais pas toutes loin de là. Je vais d'ailleurs revenir le lire à d'autres reprises pour bien tout retenir ou...essayer!
RépondreSupprimerIl est aussi très joliment illustré. Merci beaucoup pour ce billet. Un régal!
Je t'embrasse!
J'avoue que ce billet m'a passionnée en cherchant la documentation. En fait, je suis partie de la Duchesse d'Orléans, car je connaissais l'origine de son sapin, ainsi que celle du Prince Albert pour me diriger vers l'Alsace et les Celtes, etc...et j'ai appris, en remontant le temps, des choses que j'ignorais. Et au fil de mon billet, j'ai été agréablement surprise de pouvoir faire le lien avec Idun ! Depuis le temps que je voulais parler des Pommes de Jouvence des Ases, le lien est fait avec Noël et nos boules de verre... J'ai volontairement négligé de parler des boules "made in China" qui inondent nos marchés de Noël... Je suis contente que ce billet t'ai plu.
SupprimerBisous Marie-Paule et douce semaine de décembre, Noël approche...
Juste un petit coucou pour voir les belles illustrations et survoler le texte de ton billet, car le mien est encore loin d'être terminé (et j'ai des obligations familiales qui me mettent des bâtons dans les roues).
RépondreSupprimerEnfin, une chose est évidente, tu as bien "bûché" ton sujet ;-)
Toutes mes félicitations, bisous et à bientôt, Nathanaëlle
Je vais revenir lire et admirer en détail, dès que possible
Un petit coucou du soir Tilia ! Ainsi que je le disais à Marie-Paule, j'ai pris un grand plaisir à le bûcher ce sujet ! lol
SupprimerPrend ton temps, le billet ne va pas s'envoler, lol, j'espère simplement que tu n'as pas de soucis familiaux. Plein de jolies et douces choses, à bientôt Tilia !
Noël approche...
Bisous
Un arbre à chat tout décoré ! Vous allez nous montrer cela les minous ! Cela va être super joli !
RépondreSupprimerJ'imagine que Tiki va se faire un plaisir de jouer avec tout ce qu'il pourra éventuellement faire bouger avec sa petite papatte lol C'est à dire à peu près tout ! lol
Bisous les jolis chats, Bisous Phil
J'ai été passionnée par tout ce que j'ai appris sur les traditions des fêtes de Noël...
RépondreSupprimerMerci pour ce partage!
Merci à toi Marie et douce semaine ! Bises
SupprimerCoucou Nath...
RépondreSupprimerLes sapins sont bien présents dans la peinture, vu tous les exemples que tu as su nous dénicher.
Je n'ai pas encore tout lu, comme Marie-Paule, je reviendrai pour savourer tranquillement ton billet (non, rassure toi, je ne le mangerai pas !)
Merci donc pour ton billet, très d'actualité, vu qu'il va falloir que je m'occupe du sapin pour décorer la maison...
Biseeeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeee
En parlant de "manger" lol le prochain billet risque fort de te mettre l'eau à la bouche...lol mais nous sommes en période de Fêtes, alors c'est permis ! lol
SupprimerBon courage pour faire le sapin lol
Bisous
Après le sapin... sera-t-il question... de bûche ?
SupprimerRebiseeeeeeeeeees
Eh naaaaaan ! lol Héhé Gniarf ! lol
SupprimerBisous
Très joli billet! Merci Nathanaëlle pour cette profusions d'informations sur les coutumes liées à Noël!
RépondreSupprimerNous plongeons avec toi dans l'ambiance feutrée, imprégnée de senteurs de pommes, cannelle et pin, merci!
Je te souhaite une agréable semaine
J'aime beaucoup cette atmosphère de Noël, elle es partout, pas seulement dans les belles boutiques, on sent comme une montée de bonheur, de chaleur du coeur, on prépare pour faire plaisir, et rien que ce plaisir là fait du bien, même un sourire fait du bien, et c'est cela Noël... Le march" de Noël sent bon la cannelle et le chocolat chaud... ici cela sent la mandarine et les senteurs du feu de cheminée des voisins parvient jusqu'à chez nous, cela sent bon l'Hiver...
SupprimerBisous Kenza, doux mercredi
oops..."est partout" et "le marché de Noël", pardon pour les fautes de frappe lol
SupprimerC'est vrai, nous approchons de Noël et ton billet est remarquable. Merci pour le plaisr que tu nous donne à voir, à quelques jours de cette fête mythique et sacrée.
RépondreSupprimerAmitiés.
Roger
Merci surtout pour tes oeuvres de Land Art, je reviens de ton blog toujours émerveillée, je suis fascinée par ton talent, ton amour pour la nature e ressent, cela fait plaisir.
SupprimerJolie temps de Noël Roger,
Amitiés
Célébrer le solstice d'hiver, c'est bien ainsi que je conçois Noël, et pourtant, je ne suis pas Celte. Et puis, c'est une occasion de plus de gâter les Chats-Pitres.
RépondreSupprimerGros ronrons de Graf, Zing & Méo.
Bisous, Nath.
Ah célébrer la Nature, il y a plusieurs façons de célébrer Noël, c'est vrai ! Et celle ci est très jolie aussi. Et gâter nos petits amis-amours de Catland et du Chat-eau doit être un plaisir, j'ai hâte de voir leur réaction devant leurs cadeaux, j'imagine que tu vas les "mitrailler" lol ils sont tellement adorables !
SupprimerBisous Miss Tigri, gros calins d'amour aux 3 chéris
Of course each painting is perfection, but the one by Emil Czech, is the most touching to me. I will always love the simplicity of Carl Larsson as well
RépondreSupprimerBeautiful Christmas, everyone loves Christmas, in this part of the world, have a happy New Year as well.
RépondreSupprimerSublime billet
RépondreSupprimerCela m'a rappelé lorsque à l'école primaire à cette saison nous chantions Mon beau sapin
Je ne suis pas sûre que nos petits écoliers apprennent ce chant traditionnel
C'est dommage
Je ris car au fur et à mesure que j'avançais dans le temps avec toi je me suis surprise à me demander si tu allais nous parler de celui de l'Elysée !!!!
Je t'embrasse et te souhaite une douce journée
Tu as exploré le sujet d'une belle manière. Ton billet m'a beaucoup appris sur le sapin de Noël et les illustrations sont très agréables; bravo!
RépondreSupprimerCoucou Nathanaëlle !
RépondreSupprimerComme promis, me revoilà (mon billet de Noël et enfin publié) et je viens de lire attentivement tout ton billet. Quel travail de documentation ! je connaissais les grandes lignes de l'histoire du sapin mais pas tous ces détails. J'ignorais que des "ladies" de Pologne, de Saxe et de Russie ont contribué à introduire la coutume à la cour de France, ainsi que le rôle de Goethe dans cette introduction. Tout cela est passionnant !
Merci pour le lien vers le site des boules de verre de Meisenthal. La vidéo de présentation du modèle 2013 est assez féérique, mais "Sylvestre" ne m'a pas convaincue, je préfère les modèles traditionnels :-)
Quant à tes trouvailles picturales pour illustrer ton billet, elles sont absolument ravissantes. Les peintures de Zinaïda Serebryakova et d'Emil Czech sont mes préférées.
Voilà un billet qui, comme tes "Lumières du Nord", fera référence.
Bisous et à bientôt, Nathanaëlle, je te souhaite beaucoup de plaisir dans ta préparation de Noël.
Toujours un plaisir de se replonger dans l'histoire des fêtes de Noel, surtout avec de si belles images!
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