(c) Carol Jessen "Blue Umbrella" Pastel |
"L'Aurillac", vous connaissez ? C'est une marque de parapluies crées et fabriqués ici, à Aurillac, cité bi-millénaire. Allez, c'est parti, je vous raconte l'histoire des parapluies d'Aurillac... Et du parapluie tout court, par la même occasion ! lol
Je vous ai déjà parlé des légendes de la Jordanne, dont celle des paillettes de l'or des Arvernes... Est-ce vraiment une légende ?
On dit qu'au Moyen-Âge, l'or jeté jadis dans la rivière par les Arvernes, lors des invasions romaines, était recueilli et s'échangeait contre du cuivre ramené d'Espagne par les pélerins du nord de l'Europe, de retour de Saint-Jacques de Compostelle. C'est ainsi que la tradition des batteurs de cuivre et des dinandiers vit le jour à Aurillac. Quel rapport avec les parapluies me direz vous ? Attendez...
Doc "Aurillac Berceau du Parapluie" Auteur Jean Piganiol - 2009 |
Au fil des siècles, ces batteurs de cuivre confectionnèrent de petites pièces métalliques comme la noix, les aiguillettes (embouts au bord des baleines), le coulant (pièce qui circule le long du mat), ces petites pièces de cuivre entrent dans la fabrication d'un parapluie. Nos denses forêts fournirent le bois pour les mâts et les baleines.
Les paysans cantaliens partaient vendre leur bétail en Espagne et ramenaient des pièces de coton utilisées pour les toiles de parapluie.
Et c'est ainsi que naquit le Parapluie d'Aurillac...
Doc "Aurillac Berceau du Parapluie" Auteur Jean Piganiol - 2009 |
Bien qu'Aurillac soit considérée comme LA capitale du Parapluie Français, ce fut néanmoins à Paris, au coeur du XVIIIe siècle que débuta la production de cet objet bien utile. Mais à cette époque, les fabricants de toutes les entreprises de parapluies étaient tous originaires du Cantal !
Bagues de parapluie "L'Aurillac" source image lexnews.fr |
Aurillac est aujourd'hui le dernier centre français de production du parapluie.
Photo Nathanaëlle C. |
Le Parapluie à Travers les Âges...
Le parapluie a pour ancêtres le parasol et l'ombrelle utilisés à l'étranger plusieurs siècles avant d'être fabriqués en France. Cependant, leur processus de fabrication diffère un peu de celui du parapluie.
La première représentation d'ombrelle date de -485 av-J-C. Il s'agit d'un bas-relief sculpté dans la pierre du temple du roi perse Xerxès 1er, représenté sous un parasol, symbole de son pouvoir dans la cité de Persépolis.
Roi Xerxès 1er de Perse Source image :Wikipedia |
En Egypte ancienne, le parasol servait aussi à protéger les pharaons, le hiéroglyphe en forme de parapluie signifie "royauté" ou "pouvoir royal".
Déesse Noùt Plafond de la Salle Funéraire de la tombe de Ramsès V et VI Vallée des Rois n° KV9 Via |
Le parasol symbolisait le corps de la déesse Noùt, mère du soleil et des étoiles, dont le rire engendrait le tonnerre et les larmes la pluie. Elle ne touchait le sol qu'avec l'extrémité des doigts et des orteils. Pour les Egyptiens, le corps de Noùt formait la voûte céleste.
Déesse Noùt |
En Chine, au 12e siècle avant notre ère, un charpentier inventa une protection contre le soleil et l'offrit à son épouse. Bien plus tard, cette ombrelle devint un symbole de pouvoir... Sans omettre le caractère sacré de la forme de l'ombrelle, les branches symbolisaient l'équilibre du cosmos, et la toile, la voûte étoilée, comme chez les Egyptiens...
Empereur Via TravelChinaGuide |
On a retrouvé, dans un parfait état de conservation, le chariot de l'empereur Qin Shi Huang, datant de - 212 av J-C, entouré de son armée de soldats de terre cuite sur le Site de Xi'an en Chine.
Source site Heurtault |
Dans l'Antiquité, le parasol était indispensable pour les Grecques, et les Romaines customisaient leurs ombrelles, indispensable accessoire de mode qui servait aussi à se protéger des regards divins lors des orgies...
Phidias a même immortalisé une ombrelle sur les frises du Parthénon.
On s'abritait aussi du soleil sur le Forum, aux jeux du cirque, car le vélum prévu pour protéger les spectateurs n'était jamais entretenu. Mais, effet publicitaire avant l'heure, les dames portaient des ombrelles aux couleurs des conducteurs de chars favoris.
Phidias a même immortalisé une ombrelle sur les frises du Parthénon.
Doc "Aurillac Berceau du Parapluie" Auteur Jean Piganiol - 2009 |
On s'abritait aussi du soleil sur le Forum, aux jeux du cirque, car le vélum prévu pour protéger les spectateurs n'était jamais entretenu. Mais, effet publicitaire avant l'heure, les dames portaient des ombrelles aux couleurs des conducteurs de chars favoris.
Mosaïque Dame à l'Ombrelle Site du Port d'Ostie |
Du Moyen-Âge au XVIIIe Siècle
Le parasol commençait à poindre lors des cérémonies religieuses. Le Pape Alexandre III en offrit en remerciement au Doge Sébastiano Ziani en l'an 1177 :
Le parasol commençait à poindre lors des cérémonies religieuses. Le Pape Alexandre III en offrit en remerciement au Doge Sébastiano Ziani en l'an 1177 :
Le Pape Alexandre III présente le Parasol au Doge Ziani 1177 Manuscrit enluminé Musée Correr - Venise Clic pour agrandir le document |
Au Moyen-Âge, le parapluie n'existait pas encore et l'on remontait son capuchon pour se protéger des éléments, capuchon nommé "Chape à pluie" (appelé aussi "Balandras") parfois agrémenté de tissu chic, à l'instar, plus tard, du roi Henri IV dont le "chapeau de pluye était garny de taffetas".
Cathédrales et basiliques virent apparaître l'Ombrellino lors des processions.
Cathédrales et basiliques virent apparaître l'Ombrellino lors des processions.
Ombrellino de la basilique Saint-Sauveur de Rennes
Image Wikipedia |
En 1533, Catherine de Médicis arrivait en France afin d'épouser le futur Henri II, elle n'avait pas 15 ans mais apportait dans ses malles l'ombrelle et l'éventail. L'ombrelle devint, bien sur, privilège de rois, mais le terme de "Parapluie" (parasol enduit de toile cirée) apparut dans les Farces de Tabarin en 1622, mais ne sera admis au Dictionnaire de l'Académie Française qu'en 1718.
Avec le temps, le parasol devint fort encombrant, ainsi que le raconte l'humaniste Henri Estienne en 1578, dans ses "Dialogues du Nouveau Langage François Italianzé" :
"Devenu d'une grandeur démesurée, soutenu d'un baston.../...Estant ployé et tenant bien peu de place, quand ce vient qu'on en a besoin, on l'a incontinent ouvert et estendu en rond jusqu'à couvrir 3 ou 4 personnes".
Et Montaigne de rajouter "Que ces parasols dont l'Italie se sert chargent plus les bras qu'ils ne chargent la tête"
Antoine Van Dyck Portrait de la Marquise Elena Grimaldi 1623 Baroque Hollandais |
Pour protéger de la pluie le jeune Louis XIII âgé de 6 ans, une sorte de dais rond tenu par son page Bompard était maintenu au dessus de sa tête. Les dames de la Cour utilisaient ce dais, mais les hommes préféraient encore leur capes...
Charles le Brun "Le Chancelier Séguier" vers 1655-1660 Musée du Louvre - Paris Notice Classicisme |
Un artisan utilisa du bouracan (étoffe de laine tissée très serrée et non croisée) et de la toile cirée pour créer un parasol pour la pluie. Avec ses 1,600 kg, son mat de chêne le rendait très lourd à porter. Cependant, en 1673, on répertoria le parapluie dans le mobilier royal car sous le règne de Louis XIV, l'usage du parapluie était devenu courant.
"Marie Thérèse d’Autriche, Reine de France et de Navarre" Dessin de Jean-Baptiste Martin Gravé par Nicolas Bazin 1682 |
Seuls les maîtres boursiers*- colletiers* - pochetiers* avaient le droit de fabriquer les parapluies.
Petit à petit, ils remplacèrent la toile cirée par le taffetas gommé, tendu sur de légère tiges en jonc. Un anneau glissant le long du manche permettait de fermer le parapluie, on le remontait pour l'ouvrir et on l'arrêtait grâce à une grosse épingle.
Pierre-Auguste Renoir "Les Parapluies" 1883 Impressionnisme |
Peu d'écrits existent, Furetière en parlait comme un "petit meuble portatif, ou couverture ronde portée à la main pour défendre sa tête des grandes ardeurs du soleil et de la pluie, auquel cas, il était nommé parapluie".
* Boursier : fabricant de bourses, besaces, sacs de peau et de velours, ceintures herniaires, parasols et parapluies (source : vieux métiers.org)
* Colletier : fabricant de colletins (justaucorps sans manches en maroquin ou en buffle)
* Pochetier : tailleur (source enclyclopédie.eu)
Dame se promenant à la Campagne 1675-1677 |
La gravure de Jean de Saint-Jean d'après Bonnart "Dame se promenant à la Campagne" de 1675 est sans doute la première représentation de l'ombrelle moderne.
Régence Gravure de Dupin |
Sous la Régence, le dais rond devint ombrelle montée sur bambous des Indes, décorée de crépines d'or et d'éffilés de perles, panaches de plumes et reflets de soie, au charmant nom de "Balancier des Grâces"
Et le parapluie devint canne...
Le "Parapluye pliant du Roy" Document de 1715
"Parapluyes et parasols à porter dans la poche..."
"Les parapluyes dont M.Marius a trouvé le secret ne pèsent que 5 à 6 onces. Ils ne tiennent pas plus de place qu'une petite écritoire et n'embarrassent point la poche. Ainsi chacun peut, sans s'incommoder, en avoir un sur soy par précaution contre le mauvais temps (!) Ils sont cependant aussi grands, plus solides, résistent mieux aux grands vents, et se tendent aussi vite que ceux qui font en usage" "Témoignage que Messieurs de l'Académie Royale des Sciences en ont rendu"
Richard Caton Woodville "Jonas Hanway Pioneers the First Umbrella in London" |
Selon de nombreuses sources et témoignages, le premier à introduire l'usage du parapluie à Londres vers 1756, était, non pas Cantalien lol, mais Anglais : le voyageur philanthrope Sir Jonas Hanway (1712-1786). Afin d'éviter rhumes et soucis de santé à ses concitoyens, Hanway eut cette idée après avoir vu les Parisiens avec leur "toit portable" car le parapluie était très à la mode à Paris au milieu du XVIIIe et se transformait en canne.
Jonas Hanway Granger Collection Via Posterlounge |
Dans le langage populaire anglais, le nom d'Hanway est devenu aujourd'hui un nom commun pour désigner le parapluie, au même titre que nous employons le mot "pépin", ici en France.
Joseph Montgolfier avait tenté de réaliser une ombrelle géante de plus de 2 mètres de diamètres équipée d'une nacelle après avoir appris la légende de l'empereur Shun que son père, le cruel Ku-Sou vouait faire disparaître. Ku-Sou avait enfermé Shun dans une tour et y mit le feu, mais Shun réunit plusieurs parasols coniques et sauta de la tour en flammes.
Aérostat |
Restif de la Bretonne quant à lui, décrivit dans l'un de ses romans, un parapluie volant servant de parachute.
En 1718, l'Académie Française admit le terme de "parapluie" "qui sert aussi bien à se protéger du soleil que de la pluie". Vers 1750, l'écrivain et philosophe Jean-Jacques Rousseau prônait le retour à la Nature, il suscita alors une grande ferveur pour l'ombrelle.
Jean Ranc (1674-1735) "Vertumne et Pomone" 1710 Musée Fabre - Montpellier - France |
En 1769, la Maison Antoine, fabricant de cannes et parapluies, obtint le privilège de louer ces objets. Un service de parapluie publics fut donc créé afin de traverser le Pont Neuf, endroit particulièrement fréquenté de la Capitale, moyennant 2 liards par personne. On passait donc le pont Neuf à l'abri avant de retrouver l'abri des ruelles de la rive gauche ou les échoppes des quais de la rive droite. Un bureau était installé de part et d'autre du pont et l'on devait rendre l'objet (parapluie ou parasol) du côté opposé.
(c) Jack Vettriano "The Purchase Man" |
En 1770, un confit éclata entre les corporations de tourneurs (qui fabriquaient les manches) les boursiers (qui assemblaient et vendaient les instruments) et les boisseliers (ouvriers du bois pour la confection du manche). Chacun voulait s'attribuer le droit de créer et vendre les parapluies. Le Parlement décréta en 1773 "les boisseliers devaient se contenter de fournir le manche des parasols aux boursiers". Ceux-ci s'unirent aux ceinturiers et aux gantiers en 1776, pour "avoir le droit de fabriquer et faire toutes sortes de parapluies et parasols et les garnir..."
(c) Jack Vettriano "The Singing Butler" 1992 |
Très populaire sous la Révolution, le parapluie servait de tente aux marchandes, mais aussi d'épées...
En Mai 1793, à l'Assemblée Nationale, Théroigne de Méricourt, accusée de soutenir un Girondin, fut frappée par les Jacobines avec des parapluies ! Elle dut son salut à Marat.
Marie Bashkirtseff "Le Parapluie" 1883 Musée d'Etat Russe Saint-Petersboug - Russie Réalisme |
Janet et Anne Grahame Johnstone Dean s Gift Book of Nursery Rhymes Illustration |
Les parasols des Incroyables et Muscadins n'avaient rien à envier à l'ombrelle réservée aux Merveilleuses... Profusion d'étoffes précieuses brodés de fils d'or ou d'argent et cachemires aux couleurs éclatantes.
Edmund Blair Leighton "A Wet Sunday Morning " 1896 Préraphaélisme Costumes Restauration Française |
Au 19e siècle, le roi Louis-Philippe étendit l'usage du parapluie à toutes les couches de la population française et au milieu du siècle, les centres de productions étaient répartis sur tout le territoire.
Le parapluie devint "objet d'usage" grâce aux nombreuses améliorations techniques dont il bénéficia dont les 103 brevets d'invention et de perfectionnement survenus entre 1808 et 1851.
Si la forme des pièces de la monture (noix, coulants, fourchettes etc...) a peu changé depuis le 18e siècle, les matériaux tels que l'acier à la place de l'os (chez les Etrusques), du bois, des fanons de baleine ou du cuivre ainsi que la création de la dragonne permirent une miniaturisation de l'objet.
En 1705, l'ingénieux Jean Manus, de la Corporation des boursiers proposa un "parapluie pliant" à armature métallique dont poids n'excédait pas cinq onces (160 g) et dont la taille affleurait les six pouces (23 cm) au lieu des 2 kgs et 120 cm des parapluies traditionnels. Cette invention précoce n'eut pas le succès espéré, seule la Princesse Palatine, belle-soeur de Louis XIV, le mentionna en 1712 dans une lettre.
Dans l'Angleterre Victorienne, les banquiers de la City de Londres adoptèrent le parapluie comme symbole de la sécurité et de la confiance, (nombre de compagnies d'assurances et de banques le font apparaître dans leurs publicités).
Devenu accessoire de mode indispensable jusqu'à la 1e Guerre Mondiale, l'ombrelle profita de toutes les fantaisies offertes par les fabricants et couturiers.
Sources : "Les ornements de la femme" - 1892 et Aurillac Berceau du Parapluie - 2009
William Henry Margetson Costumes 1830 |
Luis Jiménez Aranda Dame à l'Exposition Universelle de Paris 1889 Collection Meadows - USA Impressionisme |
Si la forme des pièces de la monture (noix, coulants, fourchettes etc...) a peu changé depuis le 18e siècle, les matériaux tels que l'acier à la place de l'os (chez les Etrusques), du bois, des fanons de baleine ou du cuivre ainsi que la création de la dragonne permirent une miniaturisation de l'objet.
Sergio Bompard "Spring Showers" |
En 1705, l'ingénieux Jean Manus, de la Corporation des boursiers proposa un "parapluie pliant" à armature métallique dont poids n'excédait pas cinq onces (160 g) et dont la taille affleurait les six pouces (23 cm) au lieu des 2 kgs et 120 cm des parapluies traditionnels. Cette invention précoce n'eut pas le succès espéré, seule la Princesse Palatine, belle-soeur de Louis XIV, le mentionna en 1712 dans une lettre.
Prince William de Galles, Duc de Cambridge Prince Harry de Galles Getty Images |
Dans l'Angleterre Victorienne, les banquiers de la City de Londres adoptèrent le parapluie comme symbole de la sécurité et de la confiance, (nombre de compagnies d'assurances et de banques le font apparaître dans leurs publicités).
(c) Inna Tsukakhina Dame à l'Ombrelle |
Devenu accessoire de mode indispensable jusqu'à la 1e Guerre Mondiale, l'ombrelle profita de toutes les fantaisies offertes par les fabricants et couturiers.
Sources : "Les ornements de la femme" - 1892 et Aurillac Berceau du Parapluie - 2009
L’entreprise Piganiol est une affaire familiale plus que centenaire où 5 générations se succèdent depuis sa création, le 1er Février 1884. Aujourd'hui leader du marché français et adorée par les Japonais, l'entreprise est régulièrement sollicitée par les marques de luxe pour les défilés de mode. L'impression des tissus est aujourd'hui numérique et la coupe se fait au laser, mais le parapluie reste tout une histoire et tout un poème à Aurillac. Ses produits de qualité ont été récompensés par le label Entreprise du Patrimoine Vivant qui lui a été décerné par le Ministère de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi, pour la reconnaissance d’un excellent savoir-faire.
Et vous, que faites vous sous la pluie ?
Réponse dans la vidéo ci-dessous.... lol
Mary Poppins ( Julie Andrews) (c) Disney 1964 |
Et vous, que faites vous sous la pluie ?
Réponse dans la vidéo ci-dessous.... lol
Maurice Prendergast "Parapluies sous l'Averse" Musée des Beaux Arts de Boston Impressionnisme |
(c) Wlodzimierz Czurawski Walking in the Rain |
Louis Anquetin "Femme au Parapluie" 1891 Post-Impressionisme |
Louis Anquetin Femme au Parapluie 1891 Post-Impressionnisme |
I walk down the lane, with happy refrain...
Istvan Szönyi "Esernyôck" (Parapluies) |
Albert Aublet "Sur la Plage, le Tréport" 1887 Réalisme |
Marthe Marie Louise Boyer-Breton "Sheltering Sisters" 1906 |
(c) Martta Wendelin Illustration |
What a beautiful and fascinating post!!! I absolutely love rain paintings and photos! Thank you so much for sharing. Magnifique!!! :)
RépondreSupprimerThank you Linda ! Nice afternoon !
SupprimerOh, quel beau billet !
RépondreSupprimerMais où sont les parapluies de Cherbourg, le seuls qui me viennent en tête quand je pense à cet objet que j'utilise si rarement (comme mes cheveux frisent...) et pourtant, ce n'est pas faute de pluie, en ce moment...
J'adore le Wlodzimierz Czurawski "Walking in the Rain".
Et c'est bien qu'Aurillac possède cette industrie quasiment artistique qui ne risque pas de tarir, eu égard à la météo actuelle...
Je t'embrasse, Nathanaëlle, passe un très bon dimanche !
Ta visiteuse du matin
Je vais te faire une confidence : j'utilise un parapluie lorsque je ne peux pas faire autrement lol (RV important ou autre) car j'aime tellement marcher sous la pluie qu'une parka ou une doudoune avec capuche (ou sans) me convient parfaitement ! lol
SupprimerJe l'aime beaucoup aussi ce tableau de Czurawski, cet artiste doit aimer la pluie car il a peint plusieurs "averses"
L'industrie du parapluie est très célèbre ici, et les parapluies Piganiol n'étaient pas les seuls sur le marché, il reste Sauvagnat aussi, et Gérard Delos (qui s'est exilé plus haut dans le Cantal), mais au fil des siècles, il y avait ici une concentration de fabricants de parapluies.
J'espère que ces derniers bastions resteront encore longtemps.
Gros bisous Norma, belle fin d'après midi
un magnifique billet, très complet avec de belles illustrations... aurillac, une ville à visiter( des racines et des ailes)... et pour ma part, j'ai abandonné le parapluie ,remplacé par une cape avec un grand capuchon..
RépondreSupprimerbon dimanche ...bises
Tu as vu Aurillac sur des Racines et des Ailes ? Wow j'ai raté une émission là ! lol
SupprimerJ'adore marcher sous la pluie, avec ou sans pépin, avec un vêtement à capuche, j'aime le tic tac toc qu'elle fait en tombant sur moi lol
Bisous Elfi, belle fin de lundi !
Merveilleux post, magnifiquement documenté ! beaucoup de plaisir à le découvrir !
RépondreSupprimerTrès bon dimanche à toi!
Bises - Cath.
Merci Cath pour ton enthousiasme, belle fin de journée, bisous !
SupprimerOn va pouvoir chanter " Vous saurez tout ,tout, tout sur le ...parapluie "!!Très jolies illustrations , difficile de dire laquelle je préfère ... !
RépondreSupprimerBeau dimanche ... ensoleillé dans ton cœur, sinon dehors . Bises
il faut que tu écrives la suite de cette parodie, Zoé ! lol Tout tout tout, vous saurez tout sur le parapluie, le grand, le petit, le pliant et l'ombrelle lol
SupprimerGros bisous à toi et à tes petits amours !
amusante revue, et très complète! je te recommande aussi les ombrelles, parasols, d'Angkor et pourquoi pas les parapluies de Hongkong dans le genre contemporain
RépondreSupprimerLes parapluies d'Asie sont très beaux, les japonais utilisent les ombrelles autant pour la pluie, la neige que le soleil.j'aime bien ces pays d'ombrelles et de parapluies...
SupprimerMerci Miriam et belle journée !
quel bel article !
RépondreSupprimerje fais collection d'ombrelles !
je m'en sers de temps en temps quand il fait très beau et chaud!
doux dimanche à toi
bises
sophie
Wow ! Une collection d'ombrelles ! J'imagine qu'elle doit être très belle, tu nous en parleras un jour ?
SupprimerGros bisous Sophie, et plein de calinous à la jolie Norma
Rien de mieux que d'apprendre toutes ces choses sur les parapluies, merci pour ce magnifique article avec toutes ces belles images
RépondreSupprimerBon dimanche
Bisous
Même les parapluies ont une histoire ! lol
SupprimerGros bisous Floralie ! Bon mardi !
Quel billet! Comme très souvent ici du reste
RépondreSupprimerJe reviendrai le lire plus tranquillement
Géniale la photo des frères ...
Le tableau Parapluies sous l'averse m'interpelle on dirait le Rialto mais les édifices derriere ne ressemblent pas beaucoup au réel
Douce journée
Je t'embrasse
Merci Françoise ! J'aime beaucoup la photo des princes, je l'ai choisie pour parler des banquiers de la City (même s'ils n'ont aucun rapport) mais ils font "so British", j'adore !
SupprimerC'est le Ponte Della Paglia représenté sur l'aquarelle de Prendergast.
Bisous Françoise, bon mardi !
Tu as réalisé un travail de Titan pour rendre hommage au parapluie! Je ne peux pas tout retenir en une seule fois et je reviendrai te lire, c'est certain. Chaque illustration mérite aussi que l'on s'y attarde. Merci pour ce beau billet tout à fait de saison.
RépondreSupprimerGrosses bises et bon dimanche, peut-être sous un parapluie...
Je ne "travaille" sur mes billets que quelque demi-heure par jour ou par semaine lol Cela dépend lol Et celui-ci, je l'ai commencé cet été, en juillet ! Alors je n'ai pas compté le temps, (j'ignore le temps passé dessus lol) mais j'essaie de trouver des oeuvres ou photos sympas, outre les docs historiques obligatoires lol, pour que ce soit plus attrayant et que le billet permette de découvrir des artistes. Et puis c'est très agréable à concocter un billet sur l'histoire d'un objet à la fois utile et de mode lol Outre la recherche, j'apprends aussi en farfouillant...
SupprimerGros bisous Marie-Paule, merci pour ton intérêt !
hello
RépondreSupprimerun compte rendu sur les parapluies sensationnel
un objet incontournable pour le " belles " du
xviii ou il ne fallait surtout pas prendre le soleil
il fallait avoir le teint clair , voir blanc
un critère de beauté indispensable dans la bonne
société
merci pour cette lecture passionnante
bon dimanche
tendresse
edith (iris)
Jusqu'à la 1e Guerre Mondiale, il n'était pas recommandé de prendre un hâle doré. Après cela s'est petit à petit délité, heureusement ! lol
SupprimerMais l'ombrelle reste fort utile pour les allergiques au soleil (comme moi lol) il tape fort depuis quelques années, je trouve.
Et puis, c'est joli, une ombrelle, un parapluie aussi !
Bisous Iris, bon mardi !
Un bel article particulièrement bienvenu car ce dimanche est pluvieux Nathanaëlle, j'ai beaucoup appris et toutes tes illustrations sont fort intéressantes...
RépondreSupprimerLa Bécassine que je suis va sortir...je n'oublie pas mon "pébroc"
Merci.
C'est l'Automne, la terre a besoin d'eau. (malgré que les épisodes cévenols soient dramatiques depuis quelques temps).
SupprimerJ'y pense : quand j'étais petite, j'avais un parapluie Bécassine ! Même la poignée était une Bécassine sculptée et peinte avec ses couleurs, je l'adorait, c'était mon premier Parapluie ! Un Sauvagnat !
Bisous Josette et bon mardi !
Brilliant umbrellas times. I don't like them, they tend to put in my eyes.
RépondreSupprimerPeople are not careful with their umbrellas !
SupprimerThank you for your comment, Bob, nice tuesday !
Très belle rétrospective du parapluie à travers les âges...à travers les modes aussi...
RépondreSupprimerD' après ce que je constate , une fois de plus , il y a des trésors de ressources dans ce département magnifique ..!!
En ce moment il vaut mieux ne pas oublier cet objet si utile
Poutoux Nath
Et oui, il n'y pas que des Salers dans le Cantal ! lol Bien qu'elles soient super mignonnes, j'aime bien nos parapluies, nos fromages, nos sabots (là aussi c'était toute une industrie aurillacoise ! Ainsi que le tannage, la forge... )
SupprimerC'est que l'on serait presque autonomes ! lol On va demander l'indépendance ! lol Comme nos amis Bretons ! lol
Gros poutoux de la part d'une Goudote, Mathilde !
Ton article très complet comme d'habitude est très intéressant et je vais revenir le voir plus en détail.
RépondreSupprimerNous avons encore à Nice un des trois derniers magasins qui vend encore des parapluies en France (la maison Bestagno). Lorsque j'étais enfant et que j'accompagnais ma grand-mère dans ce magasin, j'étais émerveillée.
Maintenant plus de parapluie mais des casquettes pour moi.
J'aime beaucoup les illustrations de Sergio Bompard et celle-ci est savoureuse.
Bon je reviens !
Bises Nath.
Belle soirée
Je viens de chercher leur site, j'ai reconnu un parapluie avec une oeuvre de Monet ! j'en avais un : heu...anglais ! lol
SupprimerIl y a de bien jolis parapluies !
Notre ami et compatriote Gérard Delos (excellent chanteur, soit dit en passant lol) imprime lui aussi des oeuvres d'Art sur ses parapluies, les siens sont carrés, réputés inusables. Il a mit au point un procédé, son invention est brevetée, médaillée, et française, rien n'est fabriqué en Chine. J'adore ses parapluies.
Gros bisous Mireille ! Bon mardi !
merci pour ce beau documentaire, et toutes ces superbes images, je ne connaissais pas du tout l'histoire de ce parapluie.
RépondreSupprimerbisous
J'ai appris bien des choses aussi, au fil de l'élaboration de ce billet.
SupprimerBisous Laurence et les choupinettes !
Merci tout plein pour ce billet très développé et bien structuré. Tu m'en apprends beaucoup à chaque fois, et de manière artistique, c'est top !
RépondreSupprimerMerci Ambre, le fait de partir, à la base, sur quelque chose que je connais, fait que, en cherchant de la documentation j'en apprends, moi aussi, bien d'avantage, et c'est très plaisant de le partager.
SupprimerJe choisis toujours des oeuvres d'Art pour illustrer mes billets, (même s'ils ne touchent pas directement à l'Art), c'est plus sympa pour un blog sur l'Art lol) ;-)
Bisous et belle fin de soirée Ambre !
Quelle riche histoire et que de magnifiques illustrations - on rêverait qu'il se mette à pleuvoir - celle de Carol Jessen est particulièrement belle à mes yeux. Souhaitons que cette richesse d'Aurillac perdure, les beaux savoir-faire sont si précieux. Bises. brigitte
RépondreSupprimerQuand il pleut, maintenant, que l'on connait la raison de la naissance du parapluie, on va toutes et tous se prendre pour des pharaons ou des impératrices chinoises ! lol
SupprimerL'entreprise Piganiol est la dernière, avec Sauvagnat, rescapée de toute l'industrie du parapluie à Aurillac, il est important qu'elle reste et perdure, mon parapluie est un "L'Aurillac", fabriqué ici, je ne voudrais pas d'un parapluie "made in China" ! lol
Bisous Brigitte !
Ton article est très complet, j'ajouterai une précision : les "baleines" des parapluies d'Aurillac étaient fournies par le "Syndicat général des baleiniers de la Corrèze" dont le Capitaine Cap a longtemps été le président. (Cf Alphonse Allais)
RépondreSupprimerHum, je sens arriver une bonne plaisanterie, lol Alphonse Allais... je connais un petit peu l'histoire du bonhomme et de ses canulars lol J'ai un livre sur lui, quel farceur ! lol
SupprimerBonne soirée Alain !
A beautiful post Nathanaelle. You always find the prettiest photo's and paintings! I enjoyed reading your umbrella story!
RépondreSupprimerHave a good week!
Madelief x
Thank you Madelief ! For me, it is always a pleasure to read your comments, thank you for your visit.
SupprimerNice thursday !
Nath x
Comme toujours un bel article, complet, enrichissant.
RépondreSupprimerJe ne savais pas Aurillac associé aux parapluies.
J'aime les ombrelles. Ce sont des objets que je ressens comme délicats, très féminins.
Je me souviens, quand j'étais enfant ou jeune ado, avoir possédé de jolis parapluies. Les maroquiniers en vendaient de magnifiques. Maintenant il n'y a presque plus de maroquiniers et les parapluies sont made in china.
Bisous Nathanaëlle.
Douce soirée
Mais non, mais non lol Les parapluies "made in Aurillac", sont bien "made in Aurillac" ! lol Hé hé lol La Terre Arverne résiste encore et toujours à l'envahisseur ! lol
SupprimerIl existe toujours une maroquinerie dans ma ville, ("A l'Ondée", elle vend aussi des parapluies !l ol des parapluies Aurillacois ! lol) sur Paris, il y en a toujours, plus tournées vers le luxe, mais elles résistent ! lol
Bisous Nat à Chat, et bisous tout doux à Loustiquette et à l'adorable boudeuse, Mlle Hisia Hetep ! Smack !
Mon commentaire d'hier n'est pas passé !
RépondreSupprimerHeureusement que je me suis méfiée et que j'ai pris la précaution de l'enregistrer sur le traitement de texte ! le voici :
Merveilleusement contée, Nathanaëlle, ton histoire d'ombrelle se métamorphosant en parapluie. Tu maîtrises parfaitement l'art et la manière de captiver l'attention et j'ai tout lu d'un trait. En faisant quelques pauses cependant, pour admirer les tableaux. Mes préférés sont le pastel que tu montres en premier, suivi du Renoir et de la "Beauté dans la Neige" d'Hosoda.
Parasol, parapluie et paraneige, voire paragrêle ! , (sans parler de son emploi comme présentoir à cravates pour les vendeurs à la sauvette d'autrefois) le parapluie est vraiment polyvalent. Un bel atout à faire figurer sur son CV et Aurillac a vraiment de quoi être fière de sa spécialité ;-)
Cet été je me suis offert un parapluie blanc comme neige (à voir ici) pour me servir d'ombrelle contre les ardeurs du soleil sur ma peau de plus en plus allergique aux ultraviolets. Mais il a fait si mauvais temps que je ne m'en suis servie qu'une seule fois, le jour où nous avons raté l'exposition Caillebotte !
Pour répondre à ta question, sous la pluie, soit je hâte le pas si l'averse n'est pas trop forte et ainsi je m'épargne l'ennui de faire sécher l'instrument une fois rentrée, soit je le dégaine :-))
Bisous, Nathanaëlle, beau temps pluvieux sur Aurillac ;-) et merci pour le temps passé à fabriquer ce super billet
Je suis désolée Tilia. Les problèmes avec Blogger sont un peu pénibles car ils durent ! lol Tu as bien fait de sauvegarder ton comm. Avant de publier, je fais un copié-collé, par précaution, car ce souci m'arrive aussi chez d'autres copinautes.
SupprimerPas pensé à l'emploi d'étal pour cravates ! lol Pourtant cela fleurissait partout dans Paris à une certaine époque lol
Sympa ton P'brock, on doit le repérer de loin ! lol si tu veux un parapluie-ombrelle qui ne laisse pas passer les UV, choisis un Carré Delos, (oui, c'est un Aurillacois expatrié à Bord les Orgues, lol excellent chanteur et guitariste au passage, lol) ses parapluies sont vendus jusqu'au Japon, où les dames en raffolent pour cette raison (la raison des UV) de plus, ce sont des parapluies "artistiques" ! Une oeuvre d'Art sérigraphiée sur le tissu, baleines garanties inusables, s'il y a un souci, il te change ton parapluie ! C'est un Delos qu'il te faut.
Je te laisse regarder là :
http://www.delos-france.com/
Gros bisous Tilia ! Bon jeudi !
PS : mon préféré est "Venise" de Michel Four
SupprimerClique sur "commander un produit" et tu verras tous les modèles.
re-bisous Tilia !
Et non, pas de hasard dans l'association Aurillac et parapluie ! lol Nos heures d'ensoleillement sont les mêmes que celles de Toulouse, ce n'est donc pas la pluie qui a généré cette association. Ceci dit j'aimerais bien car j'adore la pluie ! lol il me reste à partir habiter l'Angleterre, ou plutôt l'Ecosse, j'aime ces pays.
RépondreSupprimerPas de pattes de chats pour le parapluie de Phil ? Il n'en a pas trouvé... lol
Gros bisous les amours et Phil, bon mardi !
Mais quelle merveille ce billet ma jolie Nath d'amour ! Je connaissais la toile de Renoir mais la toute première que tu as choisie est de toute beauté ! Et celles qui suivent aussi en fait ! La pluie je déteste ça mais les tableaux de pluie et de parapluies ... je trouve cela d'une poésie, d'une élégance et d'une humanité réelles ... je ne sais pas comment dire autrement. Le parapluie d'Aurillac est je pense connu dans le monde entier (ou presque) et c'est vrai que tu nous donnes beaucoup d'explications très intéressantes : j'adore !
RépondreSupprimerMerci ma toute belle pour ce billet complet et si beau, je t'embrasse très très très fort !
Coucou Jolie Fée !
SupprimerC'est vrai, les oeuvres où la pluie est représentée me touchent aussi beaucoup, j'aimerais sauter dans le tableau ! (Comme dans Mary Poppins), Notamment Wlodzimierz Czurawski, cet artiste a peint plusieurs oeuvres d'averses toutes gaies, comme celle-ci. Je comprends tout à fait ce que tu veux dire, je ressens la même chose.
As-tu senti ces parfums d'humus, de mousse, de champignon, ces embruns presque salés ? Ces couleurs brillantes, ces perles de pluie ? Une balade avec moi et je te fais aimer la pluie ! lol
Je te souhaite une belle journée, jolie petite Fée, continue de garder courage, continue tes dessins, tes aquarelles, tu as beaucoup de talent, et tes adorables créations ? Tu continues aussi ?
Gros bisous Fée Ariane !
Il m'arrive aussi de chantonner les jours de pluie cette chanson que j'adore. Mais dans ma tête seulement.. de peur de transformer l'averse en cataracte si je chantais réellement :-))
RépondreSupprimerBelle soirée, Nathanaëlle, bisous
ici il pleut !
Je ne connaissais pas du tout cette chanson ! Merci Tilia pour la découverte !
SupprimerUne chauve-souris amoureuse d'un parapluie, cela me fait un peu penser à la manière d'écrire de Brassens... ou aux chansons d'Emilie Jolie, (les baleines de parapluie, la compagnie des lapins bleus etc...)
https://www.youtube.com/watch?v=YjLBrU2u_Uc
Emilie : Oh, des parapluies... Les dizaines de parapluies!
Le Conteur :
En effet, se sont des parapluies
Les BALEINES DE PARAPLUIE:
On a bien dormi
Sous nos parapluies
On a bien rêvé
Sous nos ombrelles de papier
On est des baleines, mais pas des baleines de mer
On est en fer
Et l'eau qu'on connaît ici
C'est l'eau de la pluie
On est des baleines de parapluie
Choeurs :
On est des baleines de parapluie...
Gros bisous Tilia ! ;-)
Oh j'allais passer outre ce beau et si intéressant billet !!! Ouf !!! Je reviendrai plusieurs fois le lire et le regarder, goutte à goutte !!!
RépondreSupprimerBravo ! Quelle recherche !!!
J' t'embrasse et à bientôt
Merci Martine, mais prend ton temps pour consulter le billet, goutte à goutte, comme tu dis ! lol Gros bisous et belle journée !
SupprimerBonjour Nathanaelle,
RépondreSupprimerjoli post qui montre bien ton attachement à ce produit. Là où je suis un peu plus septique c'est quand je lis: "Aurillac est aujourd'hui le dernier centre français de production du parapluie.". Je pense que ce n'est pas exact car il me semble qu'il y a d'autres usines de fabrication de parapluies en France et ce depuis plusieurs générations ! Je pense notamment à une usine dans la Nièvre et une autre en Franche comté... S'approprier une histoire pour ce faire un nom c'est bien mais il ne faut pas oublier les autres qui ont tout autant participer à la renommée du parapluie à la française :)
Bonjour et merci pour votre commentaire et pour les précisions apportées. je n'ai fait que reporter les infos données par les parapluies Piganiol, leur site et leur livre, je vais me renseigner sur les usines dont vous parlez, et le cas échant corriger mon billet.
SupprimerBelle fin de journée à vous
Mon arrière grand père a créé à Vibraye une usine de manche de parapluie ,ombrelle, et canne ,sculpteur il travaillait l'os, l'écaille, l'ivoire et divers bois précieux, les ouvriers au nombre d'une soixantaine s'appelait ouvrier en canne. Il y avait sculpteur, tourneur et employés qui montaient à Paris pour présenter à d'autres fabricants les différents modèles. Le premier tour de l'usine était actionné par un chien puis ensuite la mécanisation a pris la suite. Cette usine a perduré jusqu'en 1929 et lors de la création de cette première deux ont suivi dans la petite ville de Vibraye dans le département de la Sarthe
RépondreSupprimeroui je souhaite que mon commentaire soit publié pour mémoriser tous ces petits métiers oubliés
RépondreSupprimerj'approuve
RépondreSupprimerNous sommes passeurs de paroles en mémoire de nos ancêtres
RépondreSupprimerCette image d’écriture avec des lettres blanches sur fond noir est terrible. Cela fait venir les larmes aux yeux du lecteur.
RépondreSupprimerCette image d’écriture avec des lettres blanches sur fond noir est terrible. Cela fait venir les larmes aux yeux du lecteur.
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